Les citations sur l'enfant (2).
Les citations et aphorismes sur le mot enfant :
Quel charme, quelle touchante harmonie dans la coexistence d'une jeune mère et de son enfant ! Une mère, c'est une Providence attentive, toujours préoccupée de l'objet de sa tendresse, vivant pour lui, jouissant par lui. Vierge, elle aimait les plaisirs, les fêtes ; elle rêvait, elle soupirait, quelque chose manquait à sa vie. Mère, elle a tout ce qu'il lui faut ; son enfant, c'est son amour, sa joie, son bonheur. Quelle force dans cette faiblesse ! Quelle constance dans cet être si mobile et si frivole ! Un seul événement, un mystère a tout changé. Elle a conçu, elle a enfanté, et sa métamorphose s'est accomplie, admirable métamorphose ! Comme elle est belle, et fière, et sainte, cette jeune mère, tenant dans ses bras son premier-né ! Quelle grâce dans cette attitude ! Quelle tendresse dans cette étreinte ! Voyez-là, quand elle regarde son enfant, toute son âme est dans ses yeux.
La mère doit se considérer comme le soleil de son enfant, immuable et toujours rayonnant.
Voyez dans ses jeux un enfant que l'éducation n'a point corrompu ; à la course, à la lutte, il s'efforce de surpasser ses rivaux ; mais il fait son ami de son ennemi vaincu. Il voit pleurer, ses larmes coulent ; il rit, s'il voit rire ; s'il désire tout ce qu'il aperçoit, il donne volontiers tout ce qu'il a : son cœur confiant ne cherche qu'à s'étendre, et il ira aussi librement caresser une bête féroce qu'un oiseau. Sans défiance, il est sans cesse occupé du soin de connaître, d'aimer, de protéger. Toute son âme est bonne, expansive et active.
L'enfant qui tète n'est qu'un organe, tel qu'un des vaisseaux lactés qui pompe le chyle.
Enfant trop gâté, enfant ingrat.
Deux sortes de promesses sont sacrées : celle faite à un enfant, et celle faite à un ennemi.
L'enfant ne peut s'élever sans admiration et sans vénération.
L'enfant ne désire rien de plus que de ne plus être enfant.