Les proverbes et adages yiddishs (2)
Les meilleurs proverbes des Yiddishs :
Trop et trop peu est la maladie des insensés.
Pour oublier tes ennuis, porte des chaussures qui te serrent les pieds.
Pour bien connaître la valeur de l'argent, il faut en avoir emprunté.
Quand tu ris, tout le monde le remarque ; quand tu pleurs, personne ne le voit.
La vanité est un arbre qui ne porte que des feuilles sans aucun fruit.
Deux mains dans les poches n'ont jamais fait un bon travailleur.
Qui monte rapidement, tombe aussi en un moment.
On a toujours besoin de plus d'argent que l'on n'en gagne.
Le travail est fécond en doux fruits.
La trahison retombe toujours sur le traître.
Un malade, de quelque côté qu'on le tourne, son corps est douloureux.
La tristesse ne sert à rien, si elle ne nous porte au bien.
Il n'est rien de plus doux que de raconter les malheurs passés.
Heureux comme Dieu en France.
Dieu fasse qu'on n'ait jamais à supporter tout ce que l'on est capable de supporter.
Avec un mensonge on va loin, mais sans espoir de retour.
Quand un voleur t'embrasse, compte tes dents.
L'ange de la mort tue, et s'en va sanctifier.
Quand un homme pauvre trouve un objet de valeur, il le rend à son propriétaire.
La vérité se découvre avec le temps.
Il est plus facile de connaître dix pays qu'un seul homme.
Dis toujours la vérité quoiqu'il en puisse coûter.
Les pommes du voisin sont les meilleures.
Dieu envoie le remède avant la maladie.
La connaissance de soi-même est le fondement de toutes vertus.
Le vice porte souvent le masque de la vertu.
Les vieux amis, comme les vins vieux, ne perdent pas leur saveur.
Un vieil ami vaut mieux que deux nouveaux.
Mon meilleur ami est dans mon miroir.