Une maîtresse est reine, une femme est esclave.
Ce que tu fais, fais-le suprêmement.
La lune et l'amour, quand ils ne croissent pas, décroissent.
Paresse est la clé de détresse.
Les petits oublis produisent de grands maux.
Grain par grain, la poule emplit son ventre.
Qui paye d'avance est toujours mal servi.
Qui se marie ne réfléchit pas ; qui réfléchit ne se marie pas.
Maman c'est sûr, papa peut-être.
La volonté du paresseux est de courte durée.
La leçon par les exemples instruit plus que les préceptes.
La loi est puissante, mais plus puissante est la nécessité.
Mieux vaut un pied sur le frein que deux dans le cercueil.
C'est sur la joue des pauvres que les barbiers se font la main.
Les roues et les avocats n'avancent qu'après avoir été graissés.
Qui dérobe peu est un voleur ; qui vole beaucoup est un baron.
La terre recouvre les erreurs des médecins.
Si un pauvre mange une poule, un des deux tombe malade : ou le pauvre, ou la poule.
Si Dieu ne pardonnait pas aux voleurs, il serait tout seul au Paradis.
Dieu donne les noix, mais il ne les casse pas.
Si Dieu ferme une porte, il ouvre aussitôt une fenêtre.
Le travail paie les dettes.
Les amours passent, les douleurs restent.
Une seule femme fait tout le travail ; deux ensemble font peu, mais trois ne font plus rien.
Suit la mode, ou abandonne le monde.
Si un vieux chien aboie, il sait pourquoi.
Pierre lancée et parole proférée ne reviennent jamais en arrière.
Qui veut sauver son ennemi meurt de ses mains.
La fatalité est aveugle.
La joie du pauvre dure peu.
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