Ce qui est faible est aisé à briser ; ce qui est menu est aisé à disperser.
Lao-Tseu ; Tao-tö-king, LXIV - VIe s. av. J.-C.
Ce qui est faible est aisé à briser ; ce qui est menu est aisé à disperser.
Un voyage de mille lieues a commencé par un pas.
Qui dompte les hommes est puissant ; qui se dompte lui-même est fort.
Qui se connaît lui-même est éclairé.
Qui connaît les hommes est prudent.
Qui se vante n'a point de mérite.
Qui s'approuve lui-même ne brille pas.
Ce que les hommes craignent, on ne peut s'empêcher de le craindre.
Qui n'a pas confiance dans les autres n'obtient pas leur confiance.
Qui vit la mort sans périr jouit d'une éternelle longévité.
L'âme spirituelle doit commander à l'âme sensitive.
L'utilité vient de l'être, l'usage naît du non-être.
Être conscient de la difficulté permet de l'éviter.
Ne pas connaître l'éveil conduit à la confusion.
Si vous croyez savoir, vous ne savez pas.
Plus on voyage au loin, moins on se connaît.
Ne pas savoir et croire qu'on sait, c'est la maladie des hommes.
Paie le mal avec la justice, et la bonté avec la bonté.
Le saint-homme aide tous les êtres, et n'en délaisse aucun.
Qui marche bien ne laisse pas de traces ; qui parle bien ne commet pas de fautes.
Le grave est la racine du léger ; le calme est le maître du mouvement.
Qui promet à la légère tient rarement sa parole.
En n'exaltant pas les sages, on empêche le peuple de se disputer.
Gouverne le mieux qui gouverne le moins.
La modération doit être le premier soin de l'homme.