Les proverbes du monde sur moissonner
Les 38 proverbes et dictons moissonner :
Qui moissonne et sème aussitôt perd un pain sur chaque sillon.
L'homme qui ne peut moissonner qu'il se contente de glaner.
Mieux vaut dix ans glaner qu'une seule année moissonner.
La moisson du voisin est toujours plus belle que la nôtre.
Aucune moisson ne vient sans un grand travail.
Qui craint chaque nuage n'achève point sa moisson.
Quand le mois d'août est bon, abondance en moisson.
Pluie en avril, belle moisson d'été.
Petite pluie d'avril fait belle moisson d'été.
On moissonne rarement de bon blé dans un mauvais champ.
Qui veut moissonner doit semer.
La moisson dépend plus du labour que du champ.
Pluies de mai, riche moisson.
Dix ans glaner vaut mieux qu'un seul an moissonner.
Qui sème la vertu moissonnera l'honneur.
Le temps moissonne et les roses et les épines, mais cela repousse toujours.
En temps, lieu et saison, le donner est moisson.
Belle semaison, belle moisson.
Le semer et la moisson, ont leur temps et leur saison.
Qui regarde les étoiles ne moissonne point.
Un jour de faveur est comme un jour de moisson, il faut se mettre à l'œuvre dès qu'elle est mûre.
Il y a un temps pour semer, planter et moissonner.
Il n'est point ici-bas de moisson sans culture.
Terre cultivée, moisson espérée.
Qui sème la vertu, moissonnera l'honneur.
Qui sème des épines ne peut moissonner que des afflictions.
Ce qu'on veut moissonner dans son temps doit être semé de bonne heure.
Quand il pleut le jour des Rameaux, il pleut à la fenaison et à la moisson.
Pluie le jour de l'Ascension les blés dépérissent jusqu'à la moisson.
À bonne moisson de millet, succède mauvaise de blé.
Beaucoup de poissons, petite moisson.
Avril frais donne du pain et du vin ; si mai est froid, il moissonne tout.
La moisson provient en entier, Non du semoir, mais du fumier.
À moissonner sois diligent, et ne perds pas un seul instant.
À moissonner ne t'aventure, que la récolte ne soit mûre.
Taupinière bien dispersée en mars rapporte au temps des moissons.
Qui veut semer des raves doit faire marcher la charrue après le char des moissonneurs.
L'homme affamé dévore sa moisson, l'homme altéré engloutit ses richesses.