L'homme décide de sa propre destinée ; il fait la route sanglante ou facile, il peut barrer, faire dévier ou écumer un instant le fleuve de l'histoire, mais il ne lui fait pas rebrousser chemin, il ne peut faire fléchir les décrets de la Providence. Le but est inévitable, prédestiné, mais le moyen dépend de l'homme. Sans lui, avec lui ou malgré lui, la volonté suprême s'accomplit.