Les citations sur la bravoure

Les 10 citations et proverbes bravoure.

J'aime mieux avoir sous mes ordres un homme faible, mais plein d'honneur, qu’un tranche-montagne, qui n'a que la bravoure de tempérament.

Auguste-Louis Petiet - Les pensées, maximes et réflexions (1851)

La bravoure est une qualité innée, on ne se la donne pas.

Napoléon Bonaparte - Les maximes et pensées (1769-1821)

Quand l'honneur a quelque chose de faux, c'est qu'il appartient plus à la vanité qu'à la bravoure.

Chauvot de Beauchêne - Les maximes, réflexions et pensées diverses (1819)

Que la hardiesse s'arrête au seuil de l'audace, comme la bravoure à celui de la témérité.

François Salvat de Montfort - Vasconiana ou recueil des bons mots (1708)

Parlez à un poltron des grandes qualités qui distinguent et élèvent les hommes, de leurs vertus, de leur génie, de leurs belles et généreuses actions, il restera à peu près indifférent ; mais parlez-lui de la bravoure de tel ou tel, vous le voyez à l'instant, non seulement frappé d'une véritable admiration, mais comme saisi par la seule idée d'un danger qu'il lui aurait été impossible de braver.

Constance de Théis - Les pensées diverses (1835)

L'audace, dernier terme de la bravoure, est cette expansion qui nous porte à chercher des dangers, et à nous y exposer avec enthousiasme.

Paul Thiébault - Le recueil de pensées (1805)

La bravoure est l'effet de cette énergie, de cette élasticité de l'âme, qui fait que le danger au lieu de nous comprimer, nous électrise, nous anime, et nous inspire.

Paul Thiébault - Le recueil de pensées (1805)

La bravoure est une monnaie de convention : tel va chercher hardiment la mort dans les rangs ennemis, qui tremble devant le fer du bourreau. Il y a de faux braves comme il y a de faux jetons. A dire vrai, la bravoure est une qualité innée ; on ne se la donne pas.

Napoléon Bonaparte - Les maximes et pensées (1769-1821)

La bravoure n'est souvent que l'impatience du danger.

Napoléon Bonaparte - Les maximes et pensées (1769-1821)

Les femmes aiment la bravoure, et surtout l'audace.

Stendhal - L'abbesse de Castro (1839)

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