Alexandre Dumas fils.

Les meilleures citations de Alexandre Dumas fils :

Je sens que décidément je l'aime ; je puis bien demander sa main à son père, quand je serai sûr qu'elle m'aime un peu ; et il n'aura aucune raison de me la refuser. Nous passerons l'hiver à Paris ; l'été, nous irons sur les bords de la Loire, le fleuve des amours poétiques et sentimentales, et nous serons aussi heureux que des êtres humains peuvent l'être.

Alexandre Dumas, fils - Antonine (1849)

Mon Dieu ! mon Dieu ! les deux premiers mots que trouve la douleur, comme si, malgré elle, elle se reportait instantanément à celui qui est la source de toute consolation.

Alexandre Dumas, fils - Antonine (1849)

L'esprit est ainsi fait, il va toujours chercher bien loin la raison d'une chose qu'il pourrait trouver tout près et sans effort.

Alexandre Dumas, fils - Antonine (1849)

Prenez les choses pour ce qu'elles valent, et les femmes pour ce qu'elles sont.

Alexandre Dumas, fils - La dame aux camélias, XIII (1852)

On ne prend pas à une femme ses jeunes et belles années comme on prend des fleurs pour les jeter sur une tombe !

Alexandre Dumas, fils - Antonine (1849)

Si je n'ai pas le droit de me faire aimer de la femme dont je suis tombé amoureux, j'ai le droit de l'aimer et de la voir, j'ai le droit de lui faire comprendre qu'à partir du jour où je l'ai vue j'ai associé sa pensée à ma pensée. Au lieu d'employer à mon bonheur le temps que j'ai à vivre, je veux l'employer au sien.

Alexandre Dumas, fils - Antonine (1849)

On en veut toujours à une femme dont on se croyait aimé, quand elle vous dit qu'elle ne vous aime plus.

Alexandre Dumas, fils - Le demi-monde, III, 11 (1855)

Si bon que vous soyez entré dans une église, vous en sortirez toujours meilleur ; entrez-y donc.

Alexandre Dumas, fils - Antonine (1849)

Tout ou rien : Voilà ma devise.

Alexandre Dumas, fils - Le demi-monde, III, 5 (1855)

Si amoureux que l'on soit, il est inutile de se marier quand on peut faire autrement.

Alexandre Dumas, fils - Le demi-monde, III, 5 (1855)

Le mariage est une chose grave, et quand il s'agit d'engager toute sa vie sur un mot, il faut y réfléchir longtemps.

Alexandre Dumas, fils - Le demi-monde, III, 5 (1855)

Heureux ceux qui n'ont jamais perdu de vue le clocher de leur village !

Alexandre Dumas, fils - Antonine (1849)

On a souvent parlé des églises de village comme étant l'expression de la foi en même temps la plus simple et la plus agréable au Seigneur. On avait raison. L'église de village, dont le clocher sans prétention domine tous les toits de chaume, comme un regard maternel étendu sur des enfants, dont l'horloge de faïence sonne l'heure du travail, cette autre prière, placée entre une place où jouent les enfants et le cimetière où dorment les morts, posée là comme l'emblème palpable de la vie, à la fois comme le but à atteindre et comme le but atteint, l'église de village, nous le répétons, est un spectacle consolant et doux. C'est là que l'enfant est baptisé, c'est là qu'il fait sa première communion, c'est là qu'il se marie, c'est là qu'il vient chercher la dernière prière dont il a besoin quand Dieu le rappelle à lui. Toute sa vie est là. Elle entre par une porte et sort par l'autre.

Alexandre Dumas, fils - Antonine (1849)

Trois ans passés avec la femme qu'on aime, c'est l'éternité.

Alexandre Dumas, fils - Antonine (1849)

Ce qu'on nomme l'amour n'est, chez l'homme que Dieu a doté de l'intelligence, qu'une distraction passagère.

Alexandre Dumas, fils - Un cas de rupture (1854)

Plus un homme est civilisé, plus il s'emprisonne.

Alexandre Dumas, fils - Un cas de rupture (1854)

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