Les citations sur les adversaires.

Plus un homme est puissant, plus grand est le nombre de ses adversaires.

On ne doit jamais minimiser les qualités d'un adversaire.

Composer avec l'adversaire est déjà un signe de faiblesse.

Reculer ne signifie pas toujours battre en retraite ; c'est, au contraire, dans certains cas se préparer à vaincre l'adversaire, autrement dit, dans le domaine de la stratégie, autrement dit, dans le domaine de la stratégie, reculer c'est prendre ensuite l'offensive.

Le fin joueur ne joue pas la carte qu'attend son adversaire, encore moins celle qu'il désire.

Deux adversaires ont souvent le tort d'avoir tous les deux raison de manière différente.

Pas facile d'être médiateur. Surtout quand les deux parties en présence pensent que l'on démonte le mur de malentendus, cause du conflit, afin de pouvoir en balancer les briques à la figure de l'adversaire.

Je ne crains ni les compromis, ni les responsabilités, ni l'injustice de mes adversaires ; je ne crains qu'une chose, c'est l'inconnu, et jamais je ne transigerai avec lui.

Celui qui bédole dans son froc a perdu d'avance ; l'odeur de la merde excite l'adversaire.

Rien de plus vain que d'espérer réussir uniquement par les fautes de ses adversaires, quand on ne s'est pas mis d'avance soi-même en état d'en profiter.

Chercher à humilier un adversaire, c'est avouer qu'on se sent incapable de le convaincre.

On peut quelquefois espérer faire sentir à son adversaire qu'il est un sot ; on ne saurait se flatter de le lui faire comprendre.

Mes adversaires sont forts et nombreux, mes alliés rares et craintifs.

Obliger ses adversaires et ses rivaux à faire aveu d'impuissance, n'est-ce pas les vaincre plus sûrement que de les condamner abusivement au silence ?

Connaître exactement le jeu de ses adversaires, c'est leur avoir déjà à moitié gagné la partie.

Mieux vaut un adversaire déclaré qu'un allié douteux. On sait à l'égard du premier quelle conduite tenir ; on ne le sait jamais à l'égard du second. Dans ce cas, tous les conseils de la prudence font défaut. La confiance est un écueil, mais la défiance en est un autre non moins à craindre.

On réduit à néant l'opposition d'un adversaire par le comportement de dignité qu'on lui oppose.

Un adversaire est un disciple par opposition.

Affirmer son respect de l'adversaire, c'est en attendre quelque retour.

C'est quand votre ligne est la plus droite que l'adversaire vous attend au tournant.

Il faut pour dompter les passions autant de résolution que pour combattre un adversaire qui renouvellerait sans cesse ses attaques.

Je ne suis pas fait pour la politique puisque je suis incapable de vouloir ou d'accepter la mort de l'adversaire.

On vend cher la victoire à son adversaire quand on provoque la mort.